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"Le Vin, c'est l'émotion, qui éveille nos sens."
KAI ZHANG
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ven 17 juin 2022Développement durable / Spécial fêtes
Ce week-end, agriculteurs, viticulteurs, éleveurs, entrepreneurs et enseignants du secteur agricole vous invitent à la journée nationale de l’agriculture.
Fan de escape Game “grandeur nature” ? Dès demain, les parisiens peuvent participer à ce jeu sur le thème de l’agriculture de demain.
Organisé par #agriDemain et l’IHEDREA, l’Agro-Management School de Paris.
Pour cette occasion, portons donc un toast à l’agriculture de demain et à votre santé (dans tous les sens du terme )!
Qu’appelle-t-on par « vin biologique » ?
Les vins biologiques sont des vins qui ont le droit d’apposer le label biologique, à la suite de l’obtention d’une certification. Contrairement aux vins conventionnels, ces vins sont produits à partir de matières premières organiques et naturelles.
Pour obtenir leur toute première certification « vinification biologique », les vignobles de vins biologiques doivent utiliser, pendant trois années consécutives, des substances naturelles, telles que des algues, du fumier, des composts… comme engrais, sans utiliser ni insecticide, ni fongicide, ni engrais inorganique.
Les produits chimiques et les OGM, tels que les engrais chimiques, les herbicides, les enzymes génétiquement modifiées…, sont interdits ou limités en quantité pendant la culture, la vinification et la mise en bouteille afin de garantir une bonne qualité de vin et minimiser les impacts environnementaux.
En effet, les certifications actuelles ne se limitent pas seulement aux raisins, mais concerne également les autres processus de fabrication, dont la vinification.
Le travail des vignes
Le désherbage
Des désherbants sont utilisés pour traiter les vignobles produisant des vins traditionnels, tandis que pour les vins biologiques d’autres pratiques sont mises en place pour lutter contre les mauvaises herbes :
Avec une interdiction formelle d’utiliser des désherbants chimiques ou des produits de traitement de synthèse, y compris les herbicides.
Grâce au désherbage mécanisé.
Ou à des préparations végétales, répandues sur les vignes, en tenant compte des saisons naturelles.
Les traitements
Des fongicides et des insecticides sont utilisés, pour les vignobles de vins conventionnels, par prévention ou pour lutter contre les maladies, comme le mildiou, l’oïdium ou la pourriture grise (Botrytis cinerea), mais aussi contre les ravageurs, comme les papillons, les chenilles (vers de la grappe) ou les cicadelles.
En revanche, dans les process de l’agriculture biologique, biodynamique et naturelle, les produits chimiques et les OGM sont strictement bannis.
En effet, en viticulture biologique, seuls le soufre et le sulfate de cuivre, que l’on peut trouver sous forme de bouillie bordelaise, sont tolérés et dans la limite de 6 kg par hectare et par an.
La bouillie bordelaise est également utilisée en biodynamie ainsi que pour les méthodes de vins naturels, limitée à 3 kg par hectare, mais sans contrainte normative spécifique pour les vins naturels.
Les couteaux mécaniques, engrenages ou courroies de transmission peuvent malheureusement écraser les raisins, quand ils sont récoltés mécaniquement, provoquant une oxydation prématurée, et apportant des bactéries.
Ceci n’est pas le cas pour les raisins cueillis manuellement (*). Les raisins et la vinification peuvent ainsi être de meilleure qualité.
(*) critère important pour les vins biodynamiques et naturels, non exigé pour les vins biologiques mais souvent pratiqué pour des vins de qualité supérieure.
Les avantages des vendanges manuelles sont :
De réduire la consommation de carburant, les émissions de carbone, la pollution environnementale, tout simplement en remplaçant les machines par de la main-d’œuvre.
D’écarter les saletés ou impuretés, dans un souci de qualité, comme les feuilles abîmées, les tiges, les petits insectes ou les crottes de souris…
De laisser de côté les raisins pas encore mûrs ou malheureusement pourris, pour garantir une belle qualité de fruits.
D’également contribuer à la qualité des fruits, en rangeant les raisins sélectionnés dans des petits cageots bien aérés, afin qu’ils restent intacts lors du transport.
La vinification
Juste avant la fermentation et la mise en bouteille, la personne en charge de la vinification peut ajouter une quantité appropriée de dioxyde de soufre, pour séparer l’alcool de l’oxygène et éviter tout contact avec les bactéries, garantissant sa fraîcheur.
La fermentation du vin traditionnel est faite par pasteurisation ; les vignerons produisant ce type de vins sont libres d’ajouter du dioxyde de soufre ainsi que des levures exogènes chimiques.
Le vin biologique est filtré après avoir utilisé des matières premières toutes issues de l’agriculture biologique, comme de l’albumine d’œuf bio ou des enzymes sans OGM. Des levures exogènes chimiques ainsi que du dioxyde de soufre peuvent être ajoutées, mais seulement à faibles doses pour le second.
La mise en bouteille
La mention sur la bouteille de la quantité de sulfites est obligatoire dès lors que le vin contient plus de 10 mg de SO2 par litre, conforme à la loi sur les substances susceptibles de provoquer des allergies ou certaines intolérances (°). Cette quantité peut varier jusqu’à 400 mg par litre (pour les vins blancs liquoreux non bio).
(°) Le règlement (UE) n°1169/2011 impose l’étiquetage obligatoire des substances contenues dans les aliments susceptibles de provoquer des allergies ou des intolérances.
Lorsqu’elle est inférieure à 40, nous pouvons dire qu’il n’y a « pas de sulfite ajouté ».
Pour votre information,
La quantité de dioxyde de soufre dans le vin ordinaire (non liquoreux) est, en général, de 150 à 200 mg par litre.
Celle des vins biologiques sera de 100 à 150 mg par litre.
Celle des vins biodynamiques de 70-90 mg par litre.
Et celle des vins naturels, la plus faible, ne dépassera généralement pas les 30 mg par litre.
Lors de vos achats de vins biologiques, assurez-vous de bien vérifier la certification du label biologique délivrée, mentionnée sur la bouteille.
D’une part, les normes de certification biologique varient d’un pays à l’autre.
D’autre part, les vins biologiques importés peuvent être classés dans deux catégories bien distinctes :
Les “Vins issus de raisins cultivés biologiquement”
Les “Vins biologiques”
La première est vinifiée à partir de raisins biologiques et fait l’objet de contrôles très stricts lors du processus de “culture biologique”, ce qui n’est pas le cas pour la vinification et la mise en bouteille.
La seconde, plus couramment pratiquée aux États-Unis et en Australie, impose des exigences très élevées tant au niveau de la culture que de la vinification. Il est, par exemple, interdit d’ajouter du dioxyde de soufre pendant le processus de vinification.
Tous les produits sont certifiés par des organismes indépendants de contrôle afin d’indiquer au consommateur qu’aucun produit chimique de synthèse n’a été utilisé ou ajouté au raisin brut et au vin au cours du processus de culture, de vinification, de récolte et de mise en bouteille.
Logo du label chinois des produits issus de l’agriculture biologique
Logo du label des produits alimentaires pour une Chine plus verte
Logo du label français des produits AB issus de l’agriculture biologique
Logo du label européen des produits issus de l’agriculture biologique
Logo du label américains des produits certifiés biologiques
Logo du label allemand des produits certifiés biologiques
Logo du label japonais des produits certifiés biologiques
Logo du label suisse des produits issus de l’agriculture biologique
Logo du label australien des produits issus de l’agriculture biologique
Logo du label suédois des produits issus de l’agriculture biologique
Logo du label canadien des produits issus de l’agriculture biologique
Logo du label de la Nouvelle-Zélande des produits issus de l’agriculture biologique
Nous vous remercions de l’intérêt que vous portez à Vinoemotion, société engagée pour :
Sensibiliser les consommateurs à devenir plus responsables,
Défendre des causes environnementales, comme le respect de la nature et de la biodiversité,
Et promouvoir les vins naturels, biodynamiques et biologiques de nos vignerons, tout en valorisant leurs savoir-faire et produits. [...]
jeu 2 juin 2022Développement durableAujourd’hui, les consommateurs se sentent davantage concernés, qu’auparavant, par la qualité des aliments et plus attirés par les produits issus de l’agriculture biologique. Ces produits bio sont même devenus des incontournables chez certains, préoccupés par ce qu’il y a dans leurs assiettes et leurs verres ou souhaitant s’engager pour une planète plus verte.
En effet, ni engrais chimique de synthèse, ni pesticide n’est autorisé lors de la production de ces produits bio, ce qui minimise la pollution et qui rassure les consommateurs.
Les vins biologiques, comme les produits issus de l’agriculture biologique, sont devenus au fil du temps davantage connus et appréciés par le grand public. Selon les chiffres publiés par l’Institut international de la recherche des vins et des spiritueux, les ventes mondiales des vins biologiques auraient atteint en 2022 un milliard de bouteilles, soit le triple des ventes mondiales de 2012.
Sopexa, agence française de communication dans le domaine de l’agro-alimentaire, a publié, fin 2021, une étude, démontrant que presque 500 experts en vins sur plus de 1 000 interrogés pensent que la croissance des ventes des vins sera principalement réalisée grâce aux vins bio. Bien que sur le marché asiatique les produits agroalimentaires biologiques ne soient pas encore devenus un produit dit de consommation grand public, la part du vin bio sur le marché mondial total du vin augmentera d’ici trois ans de 1,25%.
Pourquoi les gens ont-ils changé leurs habitudes et sont-ils devenus des adeptes des vins bio ?
Pourquoi choisir un vin biologique ?
Pour sa saveur unique
Les saveurs des raisins des vins biologiques sont mieux conservées, le goût plus « naturel » , plus doux et délicat.
En 2016, une étude de l’Université de Californie à Los Angeles a révélé que le goût des vins biologiques, dégustés en aveugle, est meilleur que celui des vins traditionnels.
Pour les besoins d’une recherche menée par des enseignants-chercheurs d’écoles de commerce françaises et américaines, trois grandes revues professionnelles, spécialisées dans le vin, The Wine Advocate, Wine Spectator et Wine Enthusiast ont récolté plus de 74 000 avis, tous basés selon la fameuse notation réglementée à 100 points. Les vins biologiques ont obtenu des scores supérieurs aux vins traditionnels, de 4,6 points en moyenne.
Antoine Gerbelle, spécialiste renommé des vins et co-auteur du Guide Vert, édition 2016-2017 de La Revue des Vins de France, a déclaré :
« Quand ils sont bien faits, les vins bio expriment une maturité plus savoureuse, plus digeste ». Il a comparé la dégustation d’un vin biologique avec celle d’un fruit tout juste cueilli de l’arbre, encore en pleine période de maturité : « pas plus mûr que les autres, mais il offre davantage de présence en bouche », pas seulement grâce à sa teneur en sucre, mais également à l’équilibre des saveurs, précise-t-il.
Pour un moindre impact sur la santé humaine
Les vins biologiques sont cultivés sans pesticide (herbicide, insecticide, fongicide), vinifiés et mis en bouteille soit sans sulfite ajouté soit en y ajoutant des sulfites, mais sans dépasser la limite fixée par la réglementation.
Par conséquent, choisir un vin biologique réduit l’apport de substances chimiques par ingestion, et est idéal pour les personnes allergiques aux sulfites ou à la caséine.
Il peut également contribuer à diminuer les risques liés aux pesticides sur la santé humaine, pouvant engendrer certains cancers ou d’autres conséquences graves sur l’organisme, comme l’infertilité ou des malformations fœtales.
Une étude menée à l’Université de Californie, à Berkeley, a démontré que le vin biologique, ne contenant ni additif ni pesticide de synthèse, a en revanche des niveaux de quercétine et de resvératrol, beaucoup plus élevés que le vin ordinaire. Sachant que ces molécules sont utilisées par certains patients atteints de cancer pour ces effets bénéfiques (anti-oxydants, anti-inflammatoires…) qu’on lui prête, consommer des vins biologiques, raisonnablement, plutôt que des vins conventionnels peut de ce fait, et jusqu’à une certaine mesure, être « plus sain ».
Pour être plus respectueux de l’environnement et adapté au développement durable
Les dommages écologiques engendrés par la viticulture traditionnelle sont plutôt méconnus ou malheureusement considérés sans importance par le grand public (*).
(*) Selon les chiffres clés de l’UIPP de 2004, la France, 1er producteur agricole européen, était malheureusement le 3e consommateur mondial de pesticides et le 1er utilisateur en Europe avec un volume total de 76 100 tonnes de substances vendues dans l’année. De plus, un nombre restreint de cultures (céréales à paille, maïs, colza et vigne), occupant moins de 40% de la SAU (Surface agricole utile) nationale, utilisaient à elles seules près de 80% des pesticides vendus en France chaque année.
Une quantité relativement importante d’engrais chimiques de synthèse et de pesticides, utilisés dans de nombreux vignobles produisant des vins traditionnels, s’infiltre dans le sol, car seulement un faible pourcentage de l’ordre de 10 à 30% reste fixé sur les vignes.
L’utilisation à long terme de ces substances chimiques peut provoquer la contamination des eaux souterraines, ou produire une prolifération d’algues dans les milieux humides, affecter la vie des plantes et animaux aquatiques, et générer des maladies graves ou malformations au sein de cette population.
Les déchets et émissions de ces substances peuvent également être nocifs pour l’environnement.
Les raisins biologiques sont cultivés sans l’utilisation d’engrais chimique de synthèse, de nitrate, de phosphate et d’insecticide, ce qui réduit considérablement la pollution de l’environnement et améliore la qualité des sols.
Aujourd’hui, les gens ont des exigences plus élevées en matière de sécurité alimentaire. Pour
leurs achats, nombreux sont ceux qui choisissent des ingrédients avec des valeurs environnementales : plus sains, de meilleure qualité et plus respectueux de l’environnement. C’est pourquoi les vins biologiques sont de plus en plus appréciés du grand public et auprès des groupes de consommateurs moyens et hauts de gammes.
Faire des choix plus sains et plus respectueux de l’environnement pour un prix relativement équivalent est notre vocation première de commercialiser les vins biologiques pour tous.
Nous vous remercions de l’intérêt que vous portez à Vinoemotion, société engagée pour :
Sensibiliser les consommateurs à devenir plus responsables,
Défendre des causes environnementales, comme le respect de la nature et de la biodiversité,
Et promouvoir les vins naturels, biodynamiques et biologiques de nos vignerons, tout en valorisant leurs savoir-faire et produits !
[...]
jeu 12 mai 2022Changement climatique / Développement durableLes vignobles de France, selon leurs positions géographiques, sont soumis à différents types de climats :
Le climat continental
, avec des hivers froids, des étés chauds et secs.
Risques de gel et de grêle.
Alsace
Beaujolais
Bourgogne
Champagne
Lorraine
Lyonnais
Vallée de la Loire (centre)
Vallée du Rhône (septentrionale)
Le climat méditerranéen, avec des étés chauds et secs.
Seuls les orages apportent de l’eau. Risques de sécheresse.
Peu de risques de maladie de la vigne.
Corse
Languedoc-Roussillon
Provence
Vallée du Rhône (méridionale)
Le climat montagnard, où l’altitude et les expositions au soleil sont les points clés de la réussite.
Bugey
Jura
Jurançon
Savoie
Le climat atlantique, avec des hivers et étés doux, une pluviométrie relativement importante et régulière, tout au long de l’année, des amplitudes thermiques faibles.
Risques de maladies de la vigne.
Bordeaux
Sud-Ouest
Vallée de la Loire (Anjou, Pays nantais, Saumurois)
Vignes en France, en pleine saison d’été
Quels sont les risques liés au climat ?
Le gel peut tuer le cep en hiver ou mettre en péril la récolte au printemps.
En été, la sécheresse peut griller les feuilles et les baies et bloquer la maturation.
La canicule, phénomène météorologique de températures de l’air anormalement élevées, de jour comme de nuit, sur une période relativement longue, peut rendre le vin peu aromatique et faire augmenter le taux d’alcool beaucoup trop haut.
La grêle peut détruire les bourgeons, les feuilles ou les raisins.
Les excès de pluie peuvent faire diminuer les rendements ou provoquer une dilution en saison de maturation, ou faire pourrir les raisins au moment des vendanges.
Nuit de gel dans les vignobles, apport de bougies pour gagner quelques degrés
Que faire face au changement climatique ?
Le GIEC conclut que
le monde sera confronté à de multiples aléas climatiques inéluctables au cours des deux prochaines décennies avec un réchauffement planétaire de 1,5 °C
Les vignobles seront exposés à des événements climatiques plus extrêmes et plus fréquents, comme des inondations, des orages de grêle, des périodes de gel ou de sécheresse destructrices. Aussi bien au niveau national qu’européen, dans le monde viticole, une prise de conscience est réelle, des projets de recherche sont déjà en cours depuis quelques années (*) afin d’identifier et de tester des nouvelles stratégies à court et long termes, face au changement climatique.
Malgré la période de gel de ces derniers mois, les vignes n’ont pas été détruites en partie grâce aux dispositifs de chauffage (bougies) mis en place par les vignerons pendant la nuit ; en revanche, l’inquiétude pèse en Provence pour des raisons de sécheresse. Un consortium a été créé récemment, avec l’Institut Français du Vin, pour suivre sur le terrain, tout particulièrement en Provence dans les vignobles produisant des vins rosés, le stress hydrique des vignes en temps réel grâce à des capteurs.
Dans le Vaucluse, des essais de filets d’ombrage sont en cours, selon un protocole scientifique, prouvant que le rayonnement peut baisser, en fonction de l’opacité du filet, retarder la maturation, la date de récolte et de ce fait consommer énormément moins d’eau, ce qui est prometteur.
(*) en 2017, les vignes françaises ont terriblement souffert du gel.
Gel des vignes en pleine saison d’hiver
Quelles sont les mesures extraites des programmes pour la présidentielle face à ces aléas climatiques ?
L’assurance-récolte a été votée, et sera opérationnelle en janvier 2023.Dans le contexte des élections présidentielles, d’autres mesures sont proposées par les candidats car celle-ci est insuffisante, aux yeux des écologistes ainsi qu’autres parties.
Yannick Jadot proposait, en fait, un accompagnement de taille à la conversion vers le bio ainsi qu’un programme dans les domaines de la formation, de la recherche pour faire face aux changements climatiques.
Une des 13 propositions majeures du vaste programme écologie de Jean-Luc Mélenchon, dans le domaine de l’agriculture, était de développer l’agriculture biologique sur le plan national, de proscrire les pesticides chimiques, d’instaurer une agriculture diversifiée et écologique. Il prévoyait également de sanctionner réellement les atteintes à l’environnement.
Quant à Emmanuel Macron, il souhaite accompagner la profession avec un plan d’adaptation face au changement climatique et prévoit que l’assurance-récolte soit retravaillée dans ce sens, et d’accélérer les certifications relatives au bio ainsi qu’à l’HVE (**), attribuée aux viticulteurs et exploitations agricoles respectant des pratiques dans une démarche sociétale et environnementale. Les critères pour cette certification, construite sur trois niveaux, se basent sur la biodiversité, l’utilisation de produits phytosanitaires, l’utilisation des ressources en eau et la gestion de la fertilisation. Pour votre information, les viticulteurs, produisant des vins issus de l’agriculture biologique, respectent des conditions beaucoup plus restrictives que les méthodes d’agriculture conventionnelles.
Marine Le Pen propose de réorganiser et de réadapter le système d’assurance selon les productions. Les produits phytosanitaires ne seront pas systématiquement bannis sans solution alternative efficace. Des créations de réserves d’eau et des systèmes d’irrigation adaptés sont proposées.
(**) Haute Valeur Environnementale [...]
ven 15 avril 2022Spécial fêtes
Pâques est une fête joyeuse et savoureuse
Selon la tradition chrétienne, les cloches ne sonnent pas du jeudi au samedi saint. Elles partent se faire bénir à Rome et apportent aux enfants des œufs de toutes sortes, en sucre, en chocolat et la plupart du temps magnifiquement décorés…
La chasse aux œufs, dans les jardins et les parcs, commence dès le dimanche matin.
Les grands-parents se plient, bien évidemment, au jeu pour leurs petits-enfants chéris…
En revanche, en Alsace, selon les traditions germaniques et les origines païennes des fêtes de Pâques, c’est un lapin qui apporte les œufs, et non les cloches. Le lapin, symbole de fécondité, annonce le printemps. Les habitations des Alsaciens et leurs extérieurs sont décorés d’œufs de Pâques multicolores et de lapins.
A cette occasion, les familles se réunissent autour de la table.
Si vous voulez épater vos invités ou vos enfants, voici quelques bonnes idées pour se mettre au verre :
Pour les fous de chocolat BIO :
Huit mini fondants, préparés en 15 minutes, cuits en 8 minutes et à réfrigérer 1h avant de servir.
Choisissez un chocolat noir de qualité (160 g) issu de l’agriculture biologique, de la farine bio (65 g), du beurre bio (150 g), du sucre en poudre bio (150 g), cinq oeufs bio ou label rouge et huit carrés de chocolat bio supplémentaires (blanc, au lait ou au beurre salé).
Le bain-marie est la solution miracle pour faire fondre le chocolat avec le beurre. Otez la casserole du feu, avant que tout ne soit fondu, et fouettez pour obtenir une préparation homogène.
Dans un saladier, versez le chocolat fondu, ajoutez le sucre et la farine tamisée.Versez la pâte dans 8 petits moules, préalablement beurrés et farinés délicatement, jusqu’à mi-hauteur. Ajoutez un carré de chocolat bio supplémentaire dans chaque moule, puis complétez avec le reste de la pâte (à ¾ de leur hauteur). Laissez-les au réfrigérateur une heure.
Faites les cuire au four, préalablement préchauffé à 190°C. Laissez-les refroidir avant de les démouler. Servez-les avec des œufs de Pâques ou de la glace à la vanille.
À servir avec nos Sauternes biodynamiques ou naturels :
Réserve 2008Oxydatif 2010De Labore Solis 2012L’Aisthésis 2010
Les fraises BIO sont les stars de la saison. Profitez-en !
On veut du rouge dans nos assiettes.
Au dessert du jour : petits nids de Pâques, à base de meringues à la française et de fraises bio, petites douceurs pour nous mettre en joie, préparées en 15 minutes, cuites en 1h30 environ et à reposer 6h avant de servir.
La fraise issue de l’agriculture biologique, Gariguette, la plus précoce, juteuse et fondante, est un des fruits les moins caloriques, en général, cueillie à la main et à pleine maturité. Son parfum inimitable est un bon guide pour les choisir. Suivez le logo “fraises de France” pour des raisons de proximité, d’économie locale et donc d’écologie.
Avant équeutage, rincez-les fraises sous l’eau, épongez-les sur du papier absorbant.
Pour la meringue française, il faut des blancs d’œufs (2 œufs bio à température ambiante, soit 60 g) et du sucre en poudre bio (60 g), ainsi que du sucre glace bio (60 g).Préparez-les la veille pour qu’elles soient bien sèches. Préchauffez le four à 90°C. Battez les blancs en neige et ajoutez le sucre en poudre petit à petit jusqu’à obtenir une pâte ferme et brillante. Puis ajoutez le sucre glace tamisé en plusieurs fois avec une maryse. Formez les petits nids à l’aide d’une poche à douille sur la plaque du four, recouverte de papier cuisson. Faites-les cuire. Et après la cuisson, laissez-les dans le four éteint, porte fermée pendant de longues heures.
Étalez dans le fond des petits nids de Pâques de la crème chantilly. Puis garnissez-les de fraises et de petits œufs en chocolat du confiseur.
Accompagnées de nos pétillants naturels ou vin rosé biodynamique :
L’audacieuse 2018
Somnam’Bulles Rosé (Pétillant Naturel)
L”Initiale” méthode ancestrale demi-sec
Le petit agneau pascal, gâteau typique et traditionnel alsacien
En Alsace, un gâteau au kirsch, appelé le lamala, confectionné dans un moule de poterie, et commercialisé dans de nombreuses boulangeries pâtisseries, sont offerts aux enfants qui souhaitent de joyeuses Pâques à leurs grands-parents.
À servir avec nos champagnes, crémants et pétillants biologiques ou biodynamiques :
Chloé Brut Nature
Crémant d’Alsace Brut Nature 2018
Somnam’Bulles Blanc (Pétillant Naturel)
Pâques est une fête joyeuse et savoureuse
Selon la tradition chrétienne, les cloches ne sonnent pas du jeudi au samedi saint. Elles partent se faire bénir à Rome et apportent aux enfants des œufs de toutes sortes, en sucre, en chocolat et la plupart du temps magnifiquement décorés…
La chasse aux œufs, dans les jardins et les parcs, commence dès le dimanche matin.
Les grands-parents se plient, bien évidemment, au jeu pour leurs petits-enfants chéris…
En revanche, en Alsace, selon les traditions germaniques et les origines païennes des fêtes de Pâques, c’est un lapin qui apporte les œufs, et non les cloches. Le lapin, symbole de fécondité, annonce le printemps. Les habitations des Alsaciens et leurs extérieurs sont décorés d’œufs de Pâques multicolores et de lapins.
A cette occasion, les familles se réunissent autour de la table.
Si vous voulez épater vos invités ou vos enfants, voici quelques bonnes idées pour se mettre au verre :
Pour les fous de chocolat BIO :
Huit mini fondants, préparés en 15 minutes, cuits en 8 minutes et à réfrigérer 1h avant de servir.
Choisissez un chocolat noir de qualité (160 g) issu de l’agriculture biologique, de la farine bio (65 g), du beurre bio (150 g), du sucre en poudre bio (150 g), cinq oeufs bio ou label rouge et huit carrés de chocolat bio supplémentaires (blanc, au lait ou au beurre salé).
Le bain-marie est la solution miracle pour faire fondre le chocolat avec le beurre. Otez la casserole du feu, avant que tout ne soit fondu, et fouettez pour obtenir une préparation homogène.
Dans un saladier, versez le chocolat fondu, ajoutez le sucre et la farine tamisée.Versez la pâte dans 8 petits moules, préalablement beurrés et farinés délicatement, jusqu’à mi-hauteur. Ajoutez un carré de chocolat bio supplémentaire dans chaque moule, puis complétez avec le reste de la pâte (à ¾ de leur hauteur). Laissez-les au réfrigérateur une heure.
Faites les cuire au four, préalablement préchauffé à 190°C. Laissez-les refroidir avant de les démouler. Servez-les avec des œufs de Pâques ou de la glace à la vanille.
À servir avec nos Sauternes biodynamiques ou naturels :
Réserve 2008Oxydatif 2010De Labore Solis 2012L’Aisthésis 2010
Les fraises BIO sont les stars de la saison. Profitez-en !
On veut du rouge dans nos assiettes.
Au dessert du jour : petits nids de Pâques, à base de meringues à la française et de fraises bio, petites douceurs pour nous mettre en joie, préparées en 15 minutes, cuites en 1h30 environ et à reposer 6h avant de servir.
La fraise issue de l’agriculture biologique, Gariguette, la plus précoce, juteuse et fondante, est un des fruits les moins caloriques, en général, cueillie à la main et à pleine maturité. Son parfum inimitable est un bon guide pour les choisir. Suivez le logo “fraises de France” pour des raisons de proximité, d’économie locale et donc d’écologie.
Avant équeutage, rincez-les fraises sous l’eau, épongez-les sur du papier absorbant.
Pour la meringue française, il faut des blancs d’œufs (2 œufs bio à température ambiante, soit 60 g) et du sucre en poudre bio (60 g), ainsi que du sucre glace bio (60 g).Préparez-les la veille pour qu’elles soient bien sèches. Préchauffez le four à 90°C. Battez les blancs en neige et ajoutez le sucre en poudre petit à petit jusqu’à obtenir une pâte ferme et brillante. Puis ajoutez le sucre glace tamisé en plusieurs fois avec une maryse. Formez les petits nids à l’aide d’une poche à douille sur la plaque du four, recouverte de papier cuisson. Faites-les cuire. Et après la cuisson, laissez-les dans le four éteint, porte fermée pendant de longues heures.
Étalez dans le fond des petits nids de Pâques de la crème chantilly. Puis garnissez-les de fraises et de petits œufs en chocolat du confiseur.
Accompagnées de nos pétillants naturels ou vin rosé biodynamique :
L’audacieuse 2018
Somnam’Bulles Rosé (Pétillant Naturel)
L”Initiale” méthode ancestrale demi-sec
Le petit agneau pascal, gâteau typique et traditionnel alsacien
En Alsace, un gâteau au kirsch, appelé le lamala, confectionné dans un moule de poterie, et commercialisé dans de nombreuses boulangeries pâtisseries, sont offerts aux enfants qui souhaitent de joyeuses Pâques à leurs grands-parents.
À servir avec nos champagnes, crémants et pétillants biologiques ou biodynamiques :
Chloé Brut Nature
Crémant d’Alsace Brut Nature 2018
Somnam’Bulles Blanc (Pétillant Naturel) [...]
mer 3 novembre 2021Changement climatique / NouveautésFace à la crise écologique et climatique, et pour une transformation profonde de notre société, le média en ligne indépendant et sans publicité Natura Sciences, créé en 2009, se réinvente totalement et devient le média du défi climatique. À cette occasion, Natura Sciences dévoile son nouveau logo, un aperçu de son nouveau site Internet et lance un abonnement en pré-vente exclusive sur la plate-forme de financement participatif Ulule jusqu’au 10 novembre. A ce jour, la campagne atteint 80% de son objectif.
Alors que 53% Français estiment que les médias et les journalistes n’accordent pas assez de place à la crise écologique et climatique, le média Natura Sciences lance sa nouvelle formule axée sur les solutions à mettre en place d’ici 2030 pour construire une nouvelle société, plus respectueuse des humains et du vivant dans toutes ses composantes. Cette nouvelle formule, davantage tournée vers l’action et plus incisive, est en pré-vente exclusive sur Ulule jusqu’au 10 novembre prochain. Elle est soutenue par plusieurs personnalités dont le climatologue Jean Jouzel, la lauréate du prix Goldman pour l’environnement Lucie Pinson ou encore la réalisatrice Marie-Monique Robin (la liste complète des soutiens est disponible en fin de communiqué). L’exigence de Natura Sciences passe encore et toujours par son indépendance et l’absence de toute publicité.
Comptant parmi les pionniers des médias écologiques indépendants, Natura Sciences informe le grand public sur les enjeux écologiques depuis 2009. Par cette refonte stratégique et ce nouveau positionnement, Natura Sciences évolue vers un format plus engagé et radical, ancré dans le défi climatique des dix prochaines années. Natura Sciences veut donner à travers ces nouveautés beaucoup plus de place à l’image. Ses reportages donneront un visage à la France qui est déjà impactée par l’évolution de son environnement. Ses vidéos mettront en lumière des personnalités inspirantes. Le média mettra encore plus en lumière celles et ceux qui incarnent un renouveau, qui travaillent, construisent et militent pour faire émerger ce nouveau modèle de société. Natura Sciences remet l’humain au cœur des problématiques écologiques.
Dans la sphère des médias consacrés à l’urgence écologique, Natura Sciences se démarque en analysant l’actualité sous le prisme des sciences. Le média donne, entre autres, la parole aux climatologues, aux glaciologues et océanographes, mais aussi aux économistes, sociologues, philosophes et politologues. En plus de l’aspect scientifique, Natura Sciences veut donner une part beaucoup plus grande aux sujets culturels. Ainsi, il présentera la vision de l’écologie vue par les auteurs, dessinateurs, réalisateurs, metteurs en scène ou encore commissaires d’expositions. Les lecteurs, au cœur du projet éditorial de Natura Sciences Pour contrer la perte de confiance du public envers les médias, la rédaction de Natura Sciences veut mettre l’humain au centre de son projet éditorial. Les lecteurs pourront ainsi participer aux choix des sujets traités, notamment par le biais de vote, de suggestions ou d’appels à témoin. Au-delà des liens créés via le site internet et les réseaux sociaux, l’équipe de Natura Sciences souhaite rencontrer ses lectrices et lecteurs. Elle créera des afterworks dans les grandes villes de France pour échanger, dans un cadre convivial, sur les solutions ambitieuses.
Tout au long de la campagne, l’équipe se mobilise pour montrer un aperçu de cette nouvelle formule. Deux journalistes de l’équipe ont notamment fait vivre les résultats de la Primaire écologiste et l’audience de l’Affaire du siècle en direct sur Instagram et Twitter. En parallèle, la cofondatrice de cette nouvelle formule, Chaymaa Deb, est intervenue aux Assises du Journalisme sur deux tables rondes. Elle a pu présenter le projet et insister sur l’urgence à agir auprès de nombreux journalistes. Ils sont commencé leur série d’entretiens vidéo avec les acteurs du changement. Un premier extrait de l’entretien avec le cacique Ninawa a été publié, ainsi que l’entretien avec Stacy Algrain, initiatrice du think tank Penser l’Après. De nouveaux entretiens sont en cours de tournage, le prochain sera avec le journaliste Guillaume Pitron.
Pour découvrir l’équipe et en savoir plus sur ce projet, la campagne « Natura Sciences, le média du défi climatique », est accessible sur le lien suivant : https://fr.ulule.com/natura-sciences/
La vidéo de la campagne est disponible ici. [...]
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